Ich bin Rimbaud

Ich bin Rimbaud

Quoi ces cohortes hurlent au sang et tu tiens sur la falaise un destin entre tes mains – la ligne de fuite et ses orbes de feux, vagues balisant la ligne entre les récifs hurlants. Tu puises dans la paix de sombres résolutions qui plissent, hardiment la lune, encore, encore la soif du sable, la lame courbée d’un janissaire, tes veines sont vides, tu palpites en perte pure, hardis fils de Job, pâmoisons et reniements dans un seul salto.