Parabolique
J’abrupte enivre et me traquasse
De la buée déliquescente
Le goût de cendre
Est toujours un peu short
Alors j’esquisse
Ce n’est pas même invitation
L’intermittente brute qui me mord en dedans
A-t-elle tourné la tête de côté
Serpents serpents serpents par pléthore
A lire vite et si encore
Onyx à qui la faute
Je te touche du bout du doigt
Je n’ajoute rien au limon
Chaque grain prend aucune place nouvelle
Qui lui était destinée
Par le courant serein
Et puis rien point pas même virgule
Petit écart d’anse un gougeon
Tacheté qui s’annule dans la vision
Tacheté par peur d’ennui
Dans le gouffre des illusions