The Walking Dead : la mort joue sa carte

Période de Noël, l’article a bientôt 5 ans ! Mais les zombies ne vieillissent pas 😉

Poésie pour le temps courant / Poetry for Current Times

THE WALKING DEAD :la mort joue sa carte

Ce que semble produire TWD, c’est une inversion des règnes. Non pas une inversion binaire, ou symétrique, mais, combinée à une torsion qu’il faut prendre en compte et qui fait intervenir la question du genre, la logique de la série semble bien être celle d’une bascule entre les extrêmes, le haut et le bas, le lointain et le proche, et enfin le vivant et le mort — ce dernier renversement résultant d’ailleurs en partie des deux autres. Dans cette torsion réside peut-être sa carte maîtresse.

Le haut et le bas, c’est par exemple la première scène de Glenn, celle où Rick s’est involontairement emprisonné dans un tank. Scène d’intronisation pour le personnage sympathique du jeune ado génie de l’informatique, acrobate et fuyant, qui vient donc de mourir provisoirement (ou de ne pas mourir) dans une situation également caractéristique de cette extrapolation…

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