Ixion de joie
Un peu d’étoupe en mon glacier
Je brûle des pierres
Un plan de coupe en mes entrailles
J’ouvre les mystères
As-tu vu le soleil étriper
Dans la stratosphère
Le tout dernier fétu de paille
D’un dieu égaré
Le sol est tendre sous la joie
Pauvre salamandre
La vie est dure sous les bois
Qui voudraient s’étendre
Un peu d’étoupe en mon glacier
Le cœur empaillé
De la folie taxidermiste
Une extrémité
Mince comme la braise étrange
Qui veut perdurer
Attablés nous sommes si tristes
Au pied du bûcher